Comprendre l’iridologie partie 1 : les bases
J’ai souhaité rédiger cet ensemble d’article dédié à l’iridologie afin que vous puissiez comprendre comment cet outil peut être utilisé et intégré en médecine naturelle.
Voici le sommaire cliquable pour vous rendre à la section qui vous intéresse:
A.Forces et faiblesses de l’iridologie
B. Méthodologie d’observation proposée
- Couleur des yeux
- Trame ou stroma
- Système nerveux parasympathique
- Système nerveux sympathique
- Microcirculation, peau et phanères
Même si cela est évident, je tiens à préciser qu’il ne s’agit pas d’une formation destinée à vous faire devenir iridologue après quelques minutes de lecture. A l’issue de la lecture de ces différents articles, vous pourrez tout de même interpréter sommairement et synthétiquement la couleur de vos yeux afin d’adapter en partie votre hygiène de vie.
Je vous invite ensuite à vous rendre chez un naturopathe iridologue formé sérieusement afin qu’il puisse compléter vos observations iridologiques. Observations qui doivent, selon moi, être intégrées au sein d’une séance de naturopathie (ou autre médecine naturelle) complète et globale afin d’en tirer des conclusions pertinentes pour modifier votre hygiène de vie en profondeur.
Ndlr : En aucun cas, cette série d’article ne vous prépare à interpréter l’iris d’inconnus. Il est très facile de faire des erreurs et de parfois dire des choses qui ne devraient pas être dites comme la présence supposée d’une maladie ou d’un symptôme grave. L’iridologie ne diagnostique pas de pathologie et ne peut pas prévoir avec exactitude l’évolution pathologique d’un individu. Un trouble important qui a eu lieu dans le passé mais qui a été corrigé ne se verra pas dans l’iris. L’iridologie n’observe que les prédispositions, le « terrain » d’un individu. Elle est inutile seule. Elle doit être accompagné d’autres outils de médecine naturelle tels que ceux utilisés en naturopathie ou en homéopathie. Vouloir diagnostiquer une pathologie avec l’iridologie ou la naturopathie est dangereux, impossible, et contre-productif. En faisant cela, non seulement vous pourriez faire peur à la personne en face de vous en prétendant « déceler des maladies dans ses yeux », ce qui n’est pas dénué d’impacts psychosomatiques éventuels ; mais aussi, vous terniriez l’image de l’iridologie davantage qu’elle ne l’est déjà. Si vous souhaitez analyser l’iris de vos proches, expliquez leur d’abord en détails en quoi consiste l’iridologie, ses capacités et ses limites, de même que les vôtres. Vous pouvez leur montrer cette série d’article afin qu’ils puissent se faire une idée plus précise de cet outil. Mais encore une fois, ne jouez pas au devin ou à l’apprenti sorcier et n’utilisez pas les connaissances que je vous apporte dans cet article dans le but de proposer une thérapeutique. Le philosophe Henri Frédéric Amiel cite dans une de ces œuvres : L’habileté, c’est de paraître ce qu’on est ; l’humilité, c’est de sentir qu’on est peu de chose.« |
L’iridologie consiste à observer l’iris (la partie colorée de l’œil) à l’aide d’une loupe ou d’un iridoscope (sorte de microscope avec un grossissement x 5 à x 30).
On utilise également une petite lampe que l’on place en biais voire latéralement selon ce que l’on veut analyser. Dans tout les cas, ne jamais diriger le faisceau de la lampe directement sur la pupille ou au travers de la loupe.
Elle me permet d’évaluer relativement rapidement la façon dont l’organisme de mon consultant fonctionne dans les grandes lignes. Associé au reste de ma consultation naturopathique, elle me permet notamment d’évaluer :
– Les forces et les faiblesses organiques auxquelles nous devrons porter notre attention lui et moi ;
– L’état d’équilibre actuel de son système nerveux ;
– Les forces de réaction de son système immunitaire ;
– L’état global de son système digestif ;
– La qualité de sa circulation sanguine et lymphatique ;
– Le type d’encrassement toxinique contre lequel son organisme lutte.
Très décriée par méconnaissance, cette pratique se veut être une science d’observation et un art qui demande de nombreuses années d’expériences et beaucoup de connaissances du corps humain dans sa globalité. Je vous renvoie à mes critiques de livre sur l’iridologie afin de vous faire une idée de la richesse et de la puissance de cet outil.
Avec l’iridologie, il ne s’agit pas de chercher à diagnostiquer des pathologies, et encore moins de faire de la divination. Il s’agit simplement de prendre conscience que votre corps est unique et qu’il peut, via votre iris, vous renseigner sur son fonctionnement.
2/Les limites de l’iridologie
Selon le livre ABC de l’iridologie, de Patrice Kandza, Leonard de Vinci aurait dit un jour : « l’œil est une voie royale principale de connaissance ».
Je le répète, bien que certains médecins utilisaient autrefois l’iridologie comme outil de diagnostic (cf la critique : Livre Manuel pratique d’iriscopie ), j’estime que cet outil n’est pas en capacité de faire cela et surtout qu’il ne devrait pas être utilisé dans ce sens.
Sans être médecin, je suis conscient que faire un diagnostic ne repose pas sur une seule et unique interprétation. L’anamnèse, les bilans biologiques, physiques et autres imagerie médicale sont des outils qui permettent aux médecins de diagnostiquer une pathologie chez un individu. En aucun cas, l’iridologie ne peut remplacer l’imagerie médicale et le diagnostic médical.
L’iridologie est un outil du naturopathe (parfois homéopathe) qui ne devrait pas être utilisée seule au risque de ne plus vouloir rien dire.
Une étude du siècle dernier (1), a chercher à évaluer l’efficacité diagnostique de l’iridologie. Pour cela, les photographies d’iris de 143 patients ont été analysé par 3 iridologues et 3 ophtalmologues expérimentés. Leur but était de désigner les personnes effectivement atteintes d’insuffisance rénale (48 avaient au préalable été médicalement diagnostiquées insuffisantes rénales ).
Evidemment ces experts n’ont pas su désigner avec certitude les 48 patients insuffisants rénaux. Rien d’étonnant ici.
Premièrement, l’étude a tenté d’évaluer les capacités diagnostiques de l’iridologie. Ce n’est pas le rôle de cet outil.
Secondement, seule l’iridologie a été utilisé. En effet, aucun bilan de vitalité global, aucune anamnèse naturopathique, aucun test palpatoire, onychologique, morphopsychologique et aucun entretien n’ont été réalisé en complément de l’analyse iridologique.
En clair, l’iridologie a été utilisé seule dans le but de diagnostiquer des pathologies…Le résultat de l’étude était évident.
Pourquoi chercher à diagnostiquer une maladie alors que ce n’est pas notre travail et que l’on ne sait pas le faire ? je ne parviens pas à comprendre. Il y tant d’autres choses à faire pour le bien être de notre consultant.
Avant de vous présenter dans les articles suivants, les trois couleurs possibles d’un iris selon l’iridologie, voici la méthodologie que je vous propose d’utiliser pour analyser vos yeux :
- Couleur globale de l’iris
- Trame ou stroma
- Equilibre du système nerveux parasympathique
- Equilibre du système nerveux sympathique
- Qualité de la microcirculation, de la peau et des phanères
Développons maintenant chacun des points analysés.
1] Quelle couleur des yeux ? bleu (bleu clair, bleu marine, bleu foncé) foncés (noir, marron) ou mixte (gris, noisette, vert, orange, or…)
Nous le verrons dans les trois prochains articles, la couleur des yeux déterminerait en iridologie la constitution héréditaire de l’individu. Les prédispositions aux troubles de santé ne sont pas les mêmes selon la couleur de base de l’iris.
2] Quelle qualité de trame ou de stroma?
La trame d’un iris bleu correspond à l’agencement des fibres radiaires qui s’observent sous forme de lignes plus ou moins resserrées en rayon de roue de vélo comme vous pouvez les voir sur la photo çi-contre.
Pour un oeil clair, plus les fibres sont resserrées, bien droites et tapissent la totalité de l’iris (sauf la pupille) et plus la trame est considérée comme étant bonne.
Chez un œil marron ou noir, on parle de stroma plutôt que de trame. Les fibres étants invisibles, l’évaluation porte sur la qualité du « velours » qui recouvre l’iris.
Plus le stroma est épais, uniforme et homogène et plus il est considéré comme étant de qualité.
Certains iridologues choisissent d’utiliser une échelle de 1 à 5 pour simplifier l’interprétation de la trame de l’iris.
1 Trame très sérrée ou stroma homogène, épais sans décoloration : Très bonne hérédité
2 Trame sérrée ou stroma quasi homogène et de bonne épaisseur : Bonne hérédité
3 Trame lâche ou stroma non homogène en totalité ou décoloré par endroit : Hérédite correcte
4 Trame vacuolaire ou stroma peu homogène ou très décoloré : Faible hérédité. L’organisme manque de réactivité face aux stress en tout genre.
5 Trame lacunaire ou stroma très décoloré: Hérédité défavorable. Adopter une bonne hygiène de vie est indispensable pour compenser la faiblesse inné de l’organisme.
Comment l’interpréter ?
La trame (ou stroma) reflète nos réserves minérales, notre capacité de défense immunitaire et notre force vitale héréditaire.
En d’autres termes, elle représente la robustesse INNEE d’un individu, ses capacités d’adaptation aux évènements stressants de la vie (psychologiques, infectieux, physiques etc).
Une trame ou stroma de très bonne à bonne qualité (1 ou 2 sur l’échelle) ne signifie pas pour autant que l’individu en question ne tombera jamais malade. Juste qu’il aura un pronostic d’autoguérison plus important et une adaptation supérieure. Un tel individu récupère généralement vite lorsqu’il souffre d’un trouble de santé.
Toutefois, il ne faut pas oublier que les facteurs environnementaux peuvent modifier l’expression de nos gènes. Une discipline appartenant à la biologie étudie ce phénomène : l’épigénétique. J’écrirais surement un article dessus prochainement.
Terrain héréditaire excellent
L’épigénétique nous permet de comprendre qu’un individu possédant une trame de 1 ou de 2 qui néglige son hygiène de vie et subit des stress constants et importants de façon régulière, altérera le bon fonctionnement de son organisme et donc dégradera la qualité de son terrain inné. Les facteurs extérieurs, ici négatifs, ont influencé l’expression de ses propres gènes.
Avec le temps, cet individu épuisera ses réserves minérales, et les capacités de défenses de son organisme .
Ainsi, avoir une bonne trame c’est avantageux, mais cela ne fait pas tout. Il faut apprendre à conserver sa santé sur le long terme.
Terrain héréditaire défavorable
De son côté, un individu hypothétique possédant une trame ou stroma de 5 sera en théorie souvent atteint de divers troubles de santé et récupèrera plus lentement. Le stress l’affectera plus et son organisme aura davantage de difficulté à s’y adapter. Selon l’iridologie, des troubles pathologiques importants pourraient apparaitre si un tel individu ne prenait pas sa santé en main. Toutefois, une personne porteuse d’un tel iris est généralement au courant de ses faiblesses, tant elles se répercutent dans son quotidien. Il se sent souvent fatigué, malade voire déprimé sans raison apparente. Cela l’emmène très souvent à faire davantage attention à sa santé.
- Souvent abonné aux visites médicale il aura tendance à surveiller ce qu’il mange et saura ce qu’il peut ou non consommer avec l’expérience.
- Il pourra se mettre éventuellement au sport ou augmentera son niveau d’activité physique sous les conseils de son médecin ou de son entourage.
- Il utilisera pourquoi pas des techniques de relaxation, de détente, de méditation…
- Il y a des chances qu’il soit également attiré par les médecines dites douces qui peuvent lui apporter un peu de bien être dans sa vie.
- Il peut également s’intéresser au fonctionnement du Corps dans son ensemble (biologique, spirituel etc) et aux moyens naturels utilisables pour le garder en pleine santé.
Au final, toutes ses petites choses, ses facteurs environnementaux positifs lui permettront d’acquérir et de conserver une santé peut être plus importante et durable qu’un individu de trame 1 qui brûlerait la chandelle par les deux bouts…
Pour conclure sur l’étude le trame et du stroma, je souhaite vous mettre en garde sur les conclusions hâtives que vous pourriez avoir en observant votre trame ou celle de vos proches. Comme vous l’avez vu plus haut, rien n’est inéluctable. Modifier votre hygiène de vie en profondeur peut affecter positivement et durablement votre état de santé, et ce, quelque soit votre terrain héréditaire.
Selon moi, penser et agir positivement en adoptant une bonne hygiène de vie et en s’entourant de personnes qui nous rendent heureux sont déjà de très bons pas vers une santé globale durable.
3] Etat du système nerveux parasympathique (liseré péri-pupillaire)
Le système nerveux parasympathique est la partie du système nerveux autonome qui s’occupe essentiellement de la récupération de l’organisme et du ralentissement des fonctions vitales. En d’autres termes, il est impliqué dans les états de détente, de relaxation, de digestion et de récupération d’énergie.
Douze nerfs dit crâniens (dont le célèbre nerf X vague ou cardio-pneumo-entéro-gastrique) et plusieurs nerfs issus du plexus nerveux sacré assurent le fonctionnement de ce système.
Il est en équilibre constant avec le système nerveux sympathique qui présente de manière générale des fonctions opposées.
En iridologie, nous pouvons apprécier l’état d’équilibre du système nerveux autonome via plusieurs indices dont le cercle péri-pupillaire et la collerette.
Le système parasympathique s’observe comme un liseré brun foncé à rouge qui entoure la pupille.
Très épais ou rouge vif = hyperfonctionnement parasympathique. L’organisme tente de mobiliser de l’énergie afin de faire face à un ou des stress importants (maladie, surmenage, deuil, infection etc). Le corps nous fait signe de ralentir et de récupérer.
Léger liseré brun sur une partie ou la totalité du pourtour de la pupille = Parasympathique équilibré
Totalement invisible = hypofonctionnement parasympathique. Ce qui se traduit par un sommeil non réparateur, une baisse de tonus, parfois une accélération du transit digestif, une faiblesse immunitaire possible etc.
Ndlr : Selon l’iridologue et naturopathe Dominique Léaud-Zachoval, ce liseré péri-pupillaire disparaitrait vers l’âge de 70 ans. Si toutefois il reste visible (sans excès) alors cela ce serait selon l’auteur, le signe d’une grande force vitale.
Ce cercle est toujours à interpréter en fonction de l’état du système nerveux sympathique via la collerette (angle de Fuchs). Par exemple, si le système nerveux sympathique est en surrégime car l’organisme cherche à compenser l’hyper activité du parasympathique, alors il est possible que cette dernière passe inaperçue. Si rien n’est fait, à terme, le corps ne parvient plus à s’adapter aux stress répétés et peut entrainer l’individu vers une désadaptation de l’organisme (troubles psychologiques sexuels divers, troubles de la digestion, règles douloureuses, perte de cheveux excessive…).
Vous devez bien comprendre que d’un point vue biologique, les systèmes nerveux sympathique et parasympathique ne peuvent pas être considérés comme étant en hyper ou hypofonctionnement. Il y a toujours un équilibre constant entre ces deux voies. C’est uniquement sur le terrain , que nous parlons en médecine naturelle d‘hypersympathicotonie (excès de sympathique) et de parasympathicotonie (excès de parasympathique) afin de regrouper sous un même terme l’ensemble des manifestations biologiques (mauvaise digestion, perte de cheveux, peau sèche etc) et comportementales que nous observons.
4/ Etat du système nerveux sympathique (collerette)
La collerette reflète entre autre l’état du système nerveux sympathique et est observé sur l’iris sous forme de volcan dont la pupille en serait le centre. La collerette constituant les bords du volcan.
Ci contre une photographie de basse qualité mais prise avec une lumière rasante latérale afin que vous puissez voir ce fameux volcan. Je l’ai surligné avec un trait fin peu opaque. J’espère que vous verrez suffisament. Le rendu n’est clairement pas aussi bon que sous la loupe.
Difficile à observer et à encore plus à interpréter, je ne rentrerais pas dans les détails ici. Être capable d’analyser correctement collerette nécessite beaucoup d’expérience et de pratique. Elle s’observe en plaçant une lampe latéralement sur le côté afin d’apporter à l’iris une lumière rasante permettant de bien voir ses reliefs.
Pour simplifier, je peux tout de même vous présenter 3 types de collerettes selon l’état du système nerveux sympathique.
Collerette visible et fine = système sympathique équilibré
Collerette épaisse, blanche : système sympathique en hyperfonctionnement (potentiellement carence en vitamine B1, manganèse, phosphore qui se traduit par de l’irritabilité, une difficulté à s’endormir, des coups de colère aléatoires)
Collerette difficile à voir ou interrompue : système en hypofonctionnement
N’oubliez pas que les systèmes sympathique et parasympathique doivent être interprétés ensemble. Ils sont deux entités d’un même ensemble. Ils restent indissociables.
5] État de la microcirculation, de la peau et des phanères (anneau périphérique)
Il existe plusieurs anneaux types d’anneaux périphériques mais je ne vais vous parler que des deux principaux que j’ai pu observer.
Anneau congestif
Le premier anneau se nomme anneau congestif. Il est flou, de forme imprécise, et souvent plus foncé que le reste de l’iris. Il peut entourer totalement une partie seulement l’iris.
Le terme congestif provient du fait qu’il reflète une circulation veineuse de retour déficiente, des troubles de la microcirculation voire une intoxication lente de l’organisme par saturation des organes d’éliminations.
Les conséquences sont donc au niveau de la circulation veineuse et lymphatique mais aussi au niveau cutané (+ cheveux et ongles). Un tel anneau devra être compensé par une hygiène de vie adapté afin de libérer les organes saturés, de désencrasser l’organisme, favoriser l’élimination toxinique et améliorer les circulations veineuses et lymphatiques.
Anneau sénile ou gérontoxon
Le second anneau très souvent rencontré chez les personnes âgées se nomme anneau sénile ou gérontoxon. Il est blanc, nacré à opaque et débute souvent au sommet de l’iris. Il peut indiquer une perturbation du métabolisme lipidique (2) mais aussi un vieillissement du système circulatoire.
Là encore, un tel anneau doit être accompagné d’un travail sur le foie mais aussi sur la circulation. De même, il peut être intéressant de prendre rendez vous chez le médecin afin surveiller l’état de ses artères (sans dire que vous venez car vous avez vu un gérontoxon dans votre œil…).
En complément, je recommande d’augmenter sa consommation de fruits et légumes dont les baies bio et de saison (myrtilles, groseille, cassis etc), d’ail, de gingembre, d’oignon, de betterave.
L’utilisation de plantes sous forme de macérat mère de bourgeons, d’infusions, de teinture mère ou encore de décoction peut être intéressante après avis médical (si votre médecin est ouvert aux médecines complémentaires…). Une consultation de naturopathie est également conseillé afin de déterminer le bourgeon (ou autre) le plus adapté à votre situation.
J’espère que cet article d’introduction sur l’iridologie simplifiée vous a intéressé et vous a donné envie d’en savoir plus. J’aurais pu vous proposer une méthodologie plus complète, avec davantage de signes à interpréter mais j’ai volontairement sélectionné ce qui me paraissait essentiel et adéquat pour une première approche. Comme je l’explique en introduction, l’iridologie est un outil puissant et intéressant lorsqu’il est associé à une démarche holistique et adaptée au consultant. Utilisée seule, l’étude de l’iris a selon moi un intérêt limité qui n’est pas adapté à une approche thérapeutique pertinente. Les outils que je vous ai apporté dans cet article vous donneront un aperçu succinct du fonctionnement global de votre organisme. En aucun cas, vous ne pouvez désormais utiliser l’iridologie à des fins thérapeutiques. En schématisant mon processus de pensée en consultation, j’observe avec l’iridologie, je comprends avec la biologie et j’intègre et adapte ces informations à une approche holistique naturopathique. |
Bibliographie
(1) Simon A et coll. An evaluation of iridology. JAMA 242:1385-1387, 1979
(2)Pisella P.J, Baudouin C. et Hoang-Xuan T. (2019, sd) Dégénérescences et dystrophies cornéennes. Consulté sur https://www.em-consulte.com/em/SFO/2015/html/file_100021.html